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1946: Louis Saint-Laurent Proclame le Gouvernement Mondial

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Louis Saint-Laurent, 1946

Louis Saint-Laurent, 1946

AVANT-PROPOS :

Lieu et date : Assemblée Générale de l’ONU le 10 janvier 1946

1946 : le futur Premier Ministre du Canada l’Honorable Louis Saint-Laurent déclare que l’ONU est la base d’un gouvernement mondial.

Le 1e janvier 1946, Saint-Laurent, Ministre Fédéral du Canada, est nommé Membre du Conseil Privé du Royaume Uni.

L’Honorable Louis Stephen Saint-Laurent a 63 ans.

Il est Ministre de la Justice, Procureur Général et Secrétaire
d’Etat pour les Affaires Externes (Canada).

Il representa le Canada lors des conférences de Dumbarton Oaks et de San Francisco qui menaient au fondation des Nations Unies.

Le 13 janvier 1946, l’Honorable Louis Stephen Saint-Laurent livre un discours lors de l’initiation de l’Assemblée Générale des Nations Unies.

En voici un petit extrait significatif de son discours lors d’une session de l’Assemblée générale de l’ONU.

GOUVERNEMENT MONDIAL

TRANSCRIPTION :

[ SAINT-LAURENT : ]

Nous ne nous attendons pas à ce que
les Nations Unies

résoudent immédiatement tous les
problèmes si complexes et si délicats

qui se posent au monde entier. Mais nous
pouvons tenter de faire de l’organisation

un moyen efficace qui engendrera la
coopération internationale indispensable.

Nous pouvons aussi tenter d’en faire
la base du gouvernement mondial

auquel il faudra souscrire si nous devons
effectivement débarasser le monde

du fléau de guerres
de plus en plus horribles.

- 30 –
 

Pour mieux comprendre notre ami, Monsieur Saint-Laurent, il serait utile de savoir un fait important de son passé. Je laisse parler pour quelques instants son biographe, J. W. Pickersgill, à la page 9 de sa petite œuvre convenablement intitulée, « Louis Saint-Laurent ».

«[Marius] Barbeau et Saint-Laurent s’était connus à l’Université Laval et étaient devenus grands amis. À la fin des études, Saint-Laurent s’était vu offrir une bourse d’études Rhodes pour aller étudier à Oxford en Angleterre. Devinant que le moment était venu de gagner sa vie, Saint-Laurent déclina l’offre et suggéra à Barbeau de se porter candidat à sa place. Barbeau gagna la bourse et partit pour Oxford poursuivre des études qui firent de lui l’anthropologue le plus réputé du Canada.»

Les boursiers Rhodes sont très spécifiquement choisis et formés pour assumer un rôle principal dans la poursuite internationale d’un gouvernement mondiale. Ils sont une cinquième colonne élite au service du Royal Institute Of International Affairs (RIIA), qui veut dire les banquiers internationaux derrière la révolution Bolshevik de 1917, la déclaration de Balfour de 1917 promettant la Palestine aux juifs, la Federal Reserve des Etats-Unis (un établissement privé corrompu actuellement sur le chemin de la ruine financière de l’Amérique) et la fondation des Nations Unies.

Il ne peut donc être surprenant que Mackenzie-King, en pleine guerre mondiale, le deuxième grande guerre mondiale financée par ces mêmes Banquiers, a cueilli à la main Saint-Laurent, qui avait été considéré digne de la bourse de Rhodes. King, lui-même un protégé des Rockefellers lié aux mêmes banquiers et eux aussi pro-Soviétiques, s’était toujours entouré par des figures de la branche canadienne du Royal Institute Of International Affairs et par des membres de la gauche et de l’extrême gauche, ainsi que par des agents soviétiques avec qui le RIIA préfère réseauter, tel que Oscar D. Skelton, une recrue de Louis Kon du Comintern soviétique.

Nous ne devons pas être étonnés, donc, que Louis Saint-Laurent s’est adressé aux Nations Unies en 1946, entièrement comptant que les Nations Unies seraient « la base du gouvernement mondial ».

 


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